Puntos de venta por ciudades, provincia, autonomía, países,...

Una gran arma de marketing que genera clientes de confianza y marca de empresa

Distribuidor / Tienda, demande a su proveedor de alimentos o vinos que le apoye mediante mapas de puntos de venta . Su uso

Distributor / Shop, ask your food or wine supplier to support you through point-of-sale maps . Using it

Distribuïdor / Botiga, demani al seu proveïdor d'aliments o vins que li doni suport mitjançant mapes de punts de venda . Fer-ne us

We export wines and food from Spain. Demand it to winesinform@gmail.com

Puede pedir vinos y alimentos de España a winesinform@gmail.com

On the work of buyer . Sobre el trabajo de comprador .

See some products and prices at Perennial tender - Oportunidad permanente

Vea algunos productos y precios en Perennial tender - Oportunidad permanente

jueves, 30 de octubre de 2008

Vinya Janine

Vinya Janine

jordicastells Vi dilluns, 28 d'abril de 2008 08:34h

Un dels primers cellers que va apostar per fer vins de qualitat dins la D.O. del Camp de Tarragona és Vinya Janine de Rodonyà. Aquest poble, que és a les portes del Coll de Santa Cristina, que separa l’Alt Camp del Baix Penedès, produeix un dels vins més interessants de la D.O., que jo recordi des de l’any 1994.
Rodonyà és un poble molt agrícola, tot i la presència aquests últims anys d’alguna empresa, la pedra seca forma part del paisatge del poble, però també dels marges dels camps i les vinyes. El dibuix de l’etiqueta de Vinya Janine n’és una bona mostra. És en aquest context que la família Saumell elabora els seus vins, els més reconeguts són els criats en bótes de roure francès i americà de les varietats cabernet i merlot, majoritàriament, tot i que al començament l’ull de llebre també formava par dels cupatges, que actualment fa servir per als vins negres joves. Uns rosats molt aconseguits, junt amb un blanc monovarietal de xarel·lo, completen la total gamma interessant d’aquest vins.
Aquest petit celler, fa pocs anys ha complementat la seva activitat amb una molt bona agrobotiga, on a part de vendre els seus productes s’hi poden comprar altres productes de l’Alt Camp, al mateix temps que s’hi fan activitats com cursets de tast de vins. Aquesta agrobotiga funciona sobretot els caps de setmana, però trucant també és molt probable que hi sigueu atesos.
Aquest celler complementa la seva activitat amb un allotjament rural, que donada la proximitat amb el monestir cistercenc de Santes Creus, dins la Ruta del Cister, i altres paratges d’interès, fa una tria interessant de tot plegat. (continua...)

Per diferents motius havia parlat de dos vins d’aquesta D.O. Mas Vicenç i, per la novetat, un nou vi que és diu Vails, és per això que em sentia amb deute amb el Celler Vinya Janine, per haver sigut un dels primers en fer l’aposta de vins de qualitat de la D.O. Tarragona i en aquest cas de l’Alt Camp.

Origen informació: El Bloc de Jordi Castells i Guasch

lunes, 13 de octubre de 2008

Un propriétaire genevois dans le Priorat

Un propriétaire genevois dans le Priorat

Le destin «suisse» du Priorat catalanUn avocat de Genève vient de vendanger les premiers raisins de son domaine du Priorat. La destinée de cette région catalane dédiée aux grands vins s'est aussi forgée en Suisse.Par Pierre ThomasL'un a été coiffeur sept ans durant à Winterthour, puis chauffeur de taxi pour se payer ses premières études à Genève. L'autre est le petit-fils d'un égyptologue belge connu, avocat à Genève. Le premier, Josep Lluiz Pérez, par sa volonté tenace, est devenu l'œnologue à la base du renouveau d'une région-viticole phare de l'Espagne. Le second, Yves Pirenne, par le hasard, se retrouve propriétaire d'une vingtaine d'hectares dans cette même région, appelée à produire quelques uns parmi les plus grands rouges de la planète. Deux destins qui symbolisent le nouveau monde du vin, où rien n'est impossible...La perle du PrioratA 52 ans, Yves Pirenne est tout étonné de se retrouver maître d'un domaine de 100 hectares à 8 km d'un des villages-clés du Priorat, Grattalops, à 120 km au sud-ouest de Barcelone. Dans la partie basse (250 m. d'altitude) des collines balayées par les vents marins, le Mas del Frares était un hôtel perdu dans les oliviers. Mais sa cave, aux vieux fûts poussiéreux, témoigne de l'existence de vignes depuis des siècles. Depuis qu'au début du 13ème siècle, des moines de Voiron, près de Grenoble, fondèrent la première chartreuse catalane, Scala Dei, maison mère de tous les couvents de la Péninsule ibérique. Ils nommèrent ce domaine, idéalement situé, «La perla del Priorat».Au moment où l'AOC Catalogne est en discussion, nombre de propriétaires, qui ont pris conscience de la richesse de ce patrimoine viticole tiennent à protéger le noyau dur de la région. Le Priorat représente1890 ha de vignobles autorisés, dont la moitié sont en production aujourd'hui. Les plus grands noms du monde du vin s'y sont intéressés: Torrès, Freixenet, et même Mondavi. «La partie est fermée, tout est acheté», explique Yves Pirenne. Les conseils d'un pionnier «Quand je me suis retrouvé avec le Mas del Frares sur les bras, j'ai essayé de le vendre. Personne n'en voulait. Maintenant que j'ai replanté des vignes, on m'en offre trois fois plus que j'en voulais alors. Mais je ne vends plus. Cette aventure m'enthousiasme comme une nouvelle vie: j'ai l'eau, le soleil et la qualité de la terre. Je fais ça pour mon fils de 18 ans, qui s'intéresse déjà à l'œnologie».Car le domaine est en devenir: certes, à fin septembre, l'avocat genevois a rentré sa première vendange, 12'000 litres, dont un tiers d'un cabernet-sauvignon «exceptionnel», à côté du grenache, cépage traditionnel de la région. C'est René Barbier, un des rénovateurs du Priorat, au Clos Mogador, qui surveille viticulture et vinification, dans des installations achetées d'occasion pour cette première vendange. De 10 ha de cabernet, grenache et syrah, replantés progressivement, le domaine va doubler dès la plantation, cet hiver de 33'000 ceps de grenache. «Mon domaine sera alors bien plus vaste que le Clos Mogador», se réjouit Yves Pirenne. Premier vin en 2001, quand il aura séjourné 18 mois en barriques neuves...Les exemples à suivreQue sera ce vin? Nez de pâte d'amande, de noix de coco; arômes de raisins mûrs, magnifique volume bien balancé entre la douceur et l'amertume, avec des tanins fins et une belle longueur en bouche: voilà les impressions de la dégustation du Cims de Porrera 96 Classic. Premier millésime d'une autre aventure... On retrouve Josep Luis Pérez, devenu professeur à l'Université de Tarragone, conseiller œnologique du Clos Mogador et propriétaire du Clos Martinet, dans la réhabilitation du vignoble de tout un village déserté, Porrera, au sommet des collines, sur les contreforts de la Sierra de Montsant. Dans de petits amphithéâtres lovés au fond des vallées, de vieux vignerons ont accepté de retravailler la vigne. D'autres ont été replantées, en carignan, grenache et cabernet. Pérez mène plus loin l'expérience reprise dès 1986 aux clos Mogador, de l'Obac et Martinet. Poète de la culture catalane, Lluis Llach, participe à ce «chant de la terre» qui fait vibrer les verres. De Barcelone à New York, ces vins sont déjà devenus des objets de culte. «Vinum», qui vient de goûter les 96, les place, au sommet: quatre étoiles pour le Clos Erasmus, le Clos Martinet, le Cims de la Porrera, le Finca Dofi, le Gran Clos Tinto, l'Ermita d'Alvaro Palacios. Et même cinq étoiles, le maximum possible, pour le Clos Mogador, à la finale puissante et épicée. Voilà, pour le futur Clos dels Frares, des exemples à suivre. Article paru dans 24 heures, Lausanne, en automne 1999

Origine information: Thomasvino

Is Rioja's Juan Alcorta the world's most state-of-the-art winery?

Is Rioja's Juan Alcorta the world's most state-of-the-art winery?


Simon Crerar

Perched high on a hillside above the town of Logroño, the centre of Spain's Rioja wine region, the strikingly modern Juan Alcorta winery commands superb views of the Ebro River valley below.
Reached by a quiet windy road and surrounded by Tempranillo vines, the winery's modest, modern buildings are the elegant cork to a magnificent subterranean complex where Spain's best-known wine, Campo Viejo, is produced.
Arriving at the winery early one gorgeous autumn morning, I was taken out to see the vines on the 110-hectare estate by my guide, Campo's head winemaker Elena Adell, the stylishly dressed agricultural engineer turned viticulturist who is the driving force behind this remarkable complex.
I have visited wineries in Australia's Barossa Valley, New Zealand's Marlborough and California's Napa, all champions of modern New World winemaking techniques, but nothing prepared me for what lay beneath Juan Alcorta.
All wines created here are made seven metres underground in a giant cavern carved out of the hillside, reached down a non-descript staircase that begins beside the gaping drop chutes where the grapes arrive from plots all over Rioja 16 hours a day throughout the harvest.
The winery was constructed in 2001 with proceeds form the sale of the previous complex in Logroño. 200,000 square metres of earth were moved to make way for the high tech production facilities.
Rioja is a near perfect region for growing wine. Protected from the wildest Atlantic storms by the coastal Basque mountains, well irrigated by the Ebro River that flows from those mountains, the region sits in a sublime sheltered valley that creates ideal conditions to create ripe grapes on vertical vines growing on rocky soils.
Across Rioja, grape harvest times are determined by committee to ensure they are in optimum condition to produce wine. After delivery, the grapes cascade down from the back of lorries into giant sorting machines where the liquid is separated from the skins and stems, before being funnelled down by gravity alone into a succession of 145 giant computer controlled vats. Here millions of litres of wine are made each year, without the touch of a human hand.
"We are very happy with the winemaking process of our new bodega", explained Adell, "since it has meant that the grape and the wine move by gravity, without being subjected to any kind of pressure, enabling us to achieve a more aromatic wine with better sensations in the mouth."
Only a few decades ago grapes were still picked by hand, crushed under feet, and moved around vats by brute force. Now the entire fermentation complex at Campo Viejo employs only two people for most of the year, rising to around a dozen during the autumn harvest.
Almost all elemens of production are controlled by computer. Perched in a corner on a gantry high above stainless steel vats bigger than a London bus, seven attractive young, white coated, young female chemists diligently conduct quality controls. Here winemaker Adell says she can adjust almost every aspect of the entire operation from her desk.
Romantic it is not. However, the facility's sheer 21st century atomised splendour is a wonder to behold. Henry T Ford would approve. If James Bond ever has a showdown with a villain in a winery, you can bet it will be filmed here. Giant vats? A pink-haired, designer-clad female impresario. Hot chemists in white coats? Goldfinger's lair had nothing on this.
Next, I was led through a floor-to-ceiling door with dimensions only ever seen inside gigantic Egyptian pyramids. Although the previous vast industrial space was impressively high tech, this room was even more awe-inspiring.
Ahead of me as far as I could see were 70,000 carefully organised oak barrels. Above them, some six million bottles fermented in various stages of readiness. The silent, isolated atmosphere, free from air currents or temperature changes, helps wines complete their aging best. Eventually a bottle of Rioja aged here will make a wine lover very happy indeed.
Following a quick glance at the almost completely automated bottling and packaging line - 10,000 bottles an hour, with two men feeding flat boxes into a machine, everything else is put together with the same efficiency that produces Japanese cars - the final stage of the tour took in a tasting session of the full range of Campo Viejo's wines.
After sampling a white, a rose and a cava, we tasted reds ranging from the well-known berry flavours of the yellow-labelled Crianza, through to the vanilla and cinnamon bodied taste of the Reserva and Gran Reserva wines (the latter traditionally made only in exceptional vintages).
The futuristic tasting room was half style-bar, half dentist's laboratory. Spying some exceedingly old dusty wines in bins (Rioja isn't known for aging particularly well), I was lucky enough to taste a 1981 Reserva, a wine who's dark, almost brown colour belied an exceptionally soft, smooth, elegantly complex taste that lingered long after sipping.
Rioja offers a huge number of wine tasting opportunities. There is excellent wildlife watching and walking (the Pilgrims Way to Santiago Compostela bisects Rioja). The region is also a visual feast for architecture lovers, with new wineries designed by Santiago Calatrava, Frank Gehry and Zaha Hadid, plus Gehry's Guggenheim dominating Bilbao, where most overseas visitors will arrive by air.

Origin information: Timesonline

viernes, 10 de octubre de 2008

Vibrant Rioja Targets New Audience

Vibrant Rioja Targets New Audience

The brief was to revitalize an Old World wine for a new generation. Patricia Clough reveals how a classic Spanish wine was positioned to appeal to a younger demographic.

The Consejo Regulador D.O.Ca. Rioja (The Regulatory Council of Rioja, Spain, which represents 500 wineries) realized that its established place in the U.S. wine market was at a crossroads with ever-increasing competition from the wave of well-financed New World wine marketing campaigns. Rioja’s previous U.S. marketing efforts were fixated on tactics for media that reached older Americans who drink less as they age, according to industry research.
In fact, in the latest data from the Wine Marketing Council, the highest percentage of wine consumption growth is the Gen Y cohort group (11-29 years of age), at 40%, despite the fact that this percentage can only legally account for eight of the 18 years that comprises this group since the U.S. drinking age is 21.
The Gen X and Baby Boomer cohort groups follow at a distant 20% and 13%, respectively. Together with Wines from Spain in the office of the U.S.-based Trade Commission of Spain, the group embarked on a multi-year program to reinvigorate Rioja among a new generation of consumers with its agency of record CRT/tanaka, a mid-size public relations and marketing counsel agency with experience serving consumer, corporate and healthcare clients.
Integrated Marketing
The Vibrant Rioja integrated marketing campaign was created and launched by CRT/tanaka in fall 2005 to promote Spain’s premiere wine-producing region in the U.S., after extensive research of the changing landscape of the winemaking world.
Rioja, located in north-central Spain south of Bilbao, is Spain’s most recognized wine region, and one of only two regions to receive the Denominación de Origen Calificada (D.O.Ca.) appellation – Spain’s highest wine designation, given to wine regions that have consistently demonstrated the highest quality levels over many years.
To introduce CRT/tanaka to the Consejo Regulador D.O.Ca. Rioja and Wines from Spain, the agency researched the trends, perceptions, issues and challenges of promoting the region in the US. Surveys identified a lack of knowledge about the region and perceptions that Rioja wines were very traditional with sacrificed quality due to antiquated, and possibly unhygienic, aging and storage methods.
Paired with research proving that the overall U.S. consumer is getting younger, with more discretionary income, Rioja needed a dramatic change in its U.S. marketing. The initial survey identified one word that was frequently associated with the wines and region of Rioja and additional market research showed that it resonated with the desired Gen Y/X cohort groups. The word was: VIBRANT.
This became the emblematic word that CRT/tanaka combined with its experience in strategically and creatively branding beverage/alcohol, food and travel accounts, to embark upon an integrated marketing campaign called Vibrant Rioja.
Campaign Branding
The first months were spent identifying the key attributes of Rioja wine – ready to drink, value priced and food friendly. A bold, red-striped logo with “Vibrant Rioja” etched across it in a modern white font was the initial key piece of visual branding.
A Vibrant Rioja press kit was developed, which included information on the Tempranillo grape widely used in Rioja wines and the region’s unique wine aging classifications of crianza, reserva and gran reserva, as well as press releases on the historic and current landmarks and cultural relevance of the region.
A calling card to journalists for the media campaign, the slick, multi-paneled portfolio containing the press materials bore the campaign’s Vibrant Rioja logo, and a color pictorial of the Rioja wine regions, from its ripe grapes and the architecturally striking, Santiago Calatrava-designed Ysios winery, to Gen X men and women enjoying a glass of red wine.
Initial Media Outreach
In the first year of the campaign, traditional wine marketing tactics with a fresh focus on the proprietary “new wave” of Rioja wines, the vino de autor or alta expresión wines, were employed. A wine tasting dinner at the avant-garde New York City-based restaurant wd-50 introduced the Vibrant Rioja campaign to top consumer journalists. An immediate result was a placement in Newsweek magazine on the rising popularity of Spanish food and Spanish Rioja wines.
Controlled media vehicles such as the mat release, run-of-press release and cooperative satellite media tours highlighted Rioja’s food pairing perfection. A wine bank was created and Rioja samples were sent to journalists for timely pitches. Twice yearly press trips were scheduled at the time when Rioja’s climate was temperate and the vineyards were filled with either green leaves or ripe grapes.
Website/Advertising
A proprietary website www.vibrantrioja.com was developed and included sub categories of varietals, classifications, sommelier tips and recipes to pair with the various Rioja wine aging classifications. Limited advertising funds of the campaign were used to reach the desired trade and Gen Y/X/younger Baby Boomer audience through online advertising. This was leveraged into building an online database, with incentives to win a Rioja wine tasting party for 20 people for those who registered and filled out a brief survey, the results of which created a proprietary market research database.
The new challenge for 2007 is to bring Rioja wines and the Vibrant Rioja campaign increasingly to the Gen Y/X audiences. In addition, New York, Chicago and Boston are identified as target markets. From the team feedback and industry research, new media was identified as the focal point for 2007 media relations efforts. The VibrantRioja.com website expanded to include travel, accommodations, a “where to buy” page with retailer links and a press room.
Rioja Blog
In late 2006, a blog titled www.blameitonrioja.com was created through work with the Vibrant Rioja spokesperson Adrian Murcia, assistant sommelier of Chanterelle in New York City. Murcia, who emerged as a previous press trip candidate, was chosen due to his passion for Spain and Spanish wine, in addition to his contrasting hip-yet-wine-geek image. His bi-weekly postings range from New York City life to Rioja winery architecture and his blog features direct links to other wine, food, and travel relevant sites.
Gen Y-focused Media
To reach the Gen Y/X audience, the media relations team targets online publications, such as somethingglorious.com, which is ideal due to its trend-spotting status in the desired Chicago marketplace. Another target media relations placement was the recent hour-long interview with Murcia on Maxim Lounge, the online and Sirius satellite radio version of the popular “lad mag” Maxim.
In this interview, he rationalized Rioja’s relevance to the Gen Y/X male in one succinct question: “You’ve never heard of a red wine gut, have you?” The upcoming press trip is scheduled to coincide with a notable Rioja-based event – a literal “wine war” complete with SuperSoakers filled with Rioja wine, which takes place annually on June 29 in Haro, Spain. This event is an attraction for new media and Gen Y/X reporters specifically.
Fashion-Forward and Gen Y/X Events
Events played a strong part in the Vibrant Rioja campaign from its inception, when the campaign’s team represented the region at traditional events such as the Great Match Wines from Spain events.
An array of marketing collateral in the bold reds of the Vibrant Rioja logo was created for events, from cocktail napkins and corkscrews, to banners and silk scarves. A photographer traveled to Rioja with a male and female Gen Y model, capturing photographs of them as they discovered the Rioja lifestyle, sites and, of course, wine.
These were compiled into a virtual visit to Rioja and posted on the Vibrant Rioja Web site. In fall 2006, the campaign sponsored Olympia Fashion Week in New York City, which aligned Rioja with the tastemakers and hip, fashionable designers of New York City, the country and the world. The reward? Hearing one fashionably dressed attendee gush to another, “Have you had a Rioja?” Several other events that targeted the campaign’s desired over-21 Gen Y audience were identified for Vibrant Rioja sponsorship or participation in Chicago (SummerDance) and New York (WineRave).
Results
The results for 2006 were 428 million editorial and 16.3 million advertising media impressions talking about vibrant Rioja wines and an online database of nearly 20,000 who want to learn more about Spain’s premiere wine producing region. Through multiple message delivery tactics, Rioja wines are breaking through the clutter of wine brands in the U.S. marketplace.
By continually evaluating the angles available and in development, the campaign keeps Rioja in front of Gen Y/X/young Baby Boomer-focused media. The most striking evidence of success is that within the past 18 months, Rioja imports have increased by double digits.

Origin information: Ipra

jueves, 9 de octubre de 2008

FUENSANTA MUÑOZ, GERENTE DE OLIMENDROS

FUENSANTA MUÑOZ, GERENTE DE OLIMENDROS

«Hay desconocimiento sobre la calidad del aceite»

«Para la elaboración de un buen aceite es tan esencial partir de una aceituna sana como cuidar el proceso de elaboración»



La almazara de Olimendros rodeada de olivos. /n.e.


R. OBRADORS MURCIA Olimendros presentó en el IX Encuentro con los Alimentos de Calidad sus aceites, los cuales cumplen con las normativas de calidad que establece la Región de Murcia.
¿Qué valoración hace de su participación en el IX Encuentro de Alimentos de Calidad?
Como producto de calidad de la Región de Murcia, hay que estar, y es siempre una ocasión para darse a conocer a profesionales y público en general.
¿Pertenecen a algún tipo de denominación de origen o consejo regulador de calidad?
En Murcia, todavía no hay Denominación de Origen para el aceite, aunque está en vías de instaurarse. Lo que existe en Murcia para destacar los aceites por su calidad es el sello de Productos de Calidad de la Región de Murcia que, por supuesto, sí tenemos.
¿Qué productos presentaron en el Encuentro de Alimentos de Calidad?
Los productos que presentamos son aceites de oliva vírgenes extra de distintas variedades: arbequina, picual, cornicabra, cuquillo y coupage. Todos ello con la misma excelente calidad pero cada uno con unas cualidades organolépticas distintas.
¿Qué tipo de controles tiene Olimendros para asegurar la calidad de sus productos?
Para la elaboración de un buen aceite es tan esencial partir de una aceituna sana y en su momento óptimo de maduración, como cuidar el proceso en cuanto a rapidez y limpieza. La aceituna se recoge, se lleva a la almazara y se moltura en 24 horas, los remolques no deben sobrepasar un metro en cuanto altura, para evitar que la aceituna se chafe, la temperatura de molturación es de 27° C (extracción en frío) y la limpieza debe ser extremada en todos los pasos.
¿Aseguran las Denominaciones de Origen la calidad de los productos?
El sello de Productos de Calidad de la Región de Murcia sí asegura la calidad. Los aceites con este sello deben demostrar ser ‘mejores que extra’. Todos ellos pasan por un ‘panel de cata’ que certifica su calidad organoléptica, y todos ellos pasan unas analíticas fisicoquímicas que demuestran, no sólo ser vírgenes extra, sino mejores. En el caso de Olimendros, por ejemplo, no se envasa nada con el sello de calidad que no tenga menos de 0,3° de acidez, cuando un virgen extra ha de tener menos de 0,8° de acidez.
¿Cree que la gente conoce la calidad de los aceites que consume?
Hay todavía mucho desconocimiento sobre las calidades de los aceites. Por ejemplo, poca gente sabe que un ‘Aceite de Oliva’ es un aceite refinado con un 5-10% de aceite de oliva virgen, y que un aceite refinado procede del lampante, que es la peor calidad de aceite que sale de una almazara. Además, tampoco todo lo que está envasado corresponde con la catalogación de la etiqueta. Hay aceites envasados como virgen extra que no lo son. Sin embargo, cada vez hay más gente que se interesa por saber, por aprender. Esto hace que una parte del sector agroalimentario considere ‘caro’ un aceite que de verdad es virgen extra, porque ignoran lo costoso del proceso para obtener un zumo de aceituna con todas sus cualidades.
¿Qué clase de aceite es más saludable para el consumo diario?
El más saludable, sin duda alguna, es el virgen extra que procede de una aceituna sana, que es puro zumo de aceituna y que ha llevado el máximo cuidado en su proceso de elaboración.
¿Cómo cree que se deberían de potenciar los alimentos de calidad de la Región fuera de ésta?
Es importante estar en ferias de alimentación como Gourmet o Alimentaria, y también es conveniente hacer Encuentros de Productos de Calidad de la Región en otras ciudades. En Madrid se ha hecho los últimos años y el resultado ha sido satisfactorio.

Orígen información: La Verdad

«Crec en el producte i vull quedar-me al territori»

«Crec en el producte i vull quedar-me al territori»

E. POMARES. La Serra d'Almos

Xavi Cedó treballava a l'oficina de la cooperativa, on tenia una nòmina i una feina descansada, amb la qual, però, no omplia el neguit vital. La família era la primera aportadora de raïm a la cooperativa de la Serra d'Almos, terme en què posseeixen 15 hectàrees de vinya i 15 més d'oliveres i cirerers. Cedó ha explicat que «hauríem pogut vendre la vinya a un inversor foraster per un grapat de diners. Però jo crec en el producte que fem i volia quedar-me al territori». Així que van deixar el forn de pa de Tivissa i s'han endeutat per fer realitat el que fins aleshores havia estat un somni: tancar ells mateixos el cercle vitivinícola, des del cep a l'ampolla. Com la majoria de pagesos als que el preu que els paguen pel producte els està ensorrant, Cedó tenia un segon i important motiu per bastir celler propi. «Pels jóvens és impossible tirar endavant. Se'ns tanquen totes les portes, a menys que engeguem un projecte per guanyar-nos el valor afegit».
Ajuts, entrebancs burocràtics i després altres batalles, el celler Cedó Anguera –a banda del de la cooperativa, l'únic de la Serra d'Almos– ja és una realitat, damunt un turonet a cinquanta metres del poble. La inversió ha estat elevada per a un negoci familiar, 700.000 euros, però com ell diu «quan creus en alguna cosa s'ha de ser valent. Així passes les nits sense dormir i les preocupacions...». Mentre serveix el primer vi de la casa, l'Anexe, Cedó es confessa «molt content, perquè tot i treballar fortíssim, veus l'estima de la gent per aquest vi i que tens un futur com a pagès».
Malgrat que el celler té capacitat per elaborar 70.000 litres de vi, aquest negoci familiar mesura amb cura els passos. De l'Anexe, de moment, n'han sortit 5.000 ampolles. Com obliga la filosofia de la casa, aquest vi és una expressió del territori que l'ha vist néixer. Les varietats predominants en el cupatge són les més representatives de la DO Montsant, carinyena i garnatxa, tot i una petita contribució de sirà. Aquesta setmana ja embotella el segon vi, un semicriança. El tercer, després d'un any d'envelliment, sortirà al començament del 2009. Els dissabtes al matí fan tastos i visites a les vinyes. El Cedó Anguera és el celler número 50 de la DO Montsant i demostra l'enorme vitalitat de la denominació.

Origen informació: Vilaweb

lunes, 6 de octubre de 2008

BIERZO

BIERZO

Rural and remote, lush and beautiful and pretty well unknown, Bierzo is the kind of region wine lovers dream of discovering. Northwest Spain near Portugal, this verdant DO in northwestern Spain, sometimes called 'the gateway to Galicia,' was virtually unheard of a decade ago. Yet today this former Roman mining area has a promising future as one of Spain's new wine hotspots. It's a region where mineral-rich slate soils, a continental climate, and intrepid winemakers have come together to create some truly memorable red wines.Take for example the winechild of two Spaniards, the scion of a Priorat family and a cousin who just happend to be holding a cool few hectares in Bierzo. The scion jumped at the opportunity when his cousin Ricardo was starting a new winery in Bierzo. Their result: Palacios Petalos del Bierzo ("Petalos" for short) is a well-crafted a wine dark purple but not overpowering, with a nose of dark fruit. Soft tannin, a lingering finish, goes with anything. 91 points WA and WE.The Mencía grape is the star in Bierzo, where it occupies nearly two-thirds of the vineyards. A variety cultivated almost solely in northwestern Spain (especially in the Galician DOs- appellations- Valdeorras, Monterrei, and Ribeira Sacra), Mencía has only recently come into its own as a respected grape variety. In good hands, it reveals fresh fruity notes, smooth tannins and an enviable reflection of the minerally terroir. Although known as a wine that shows very well in young, fruity wines, some Bierzo producers are proving that with the right balance of oak it can also age well. Other grape varieties planted in Bierzo include Garnacha Tintorera, Godello, Doña Blanca, Malvasía, Palomino and, in experimental quantities, Merlot, Cabernet Sauvignon and Tempranillo.The vineyards themselves are among the most beautiful in Spain. Many are planted in picturesque terraces along the steep slopes of the Sil river valley, some with such marked inclination that mules are used for the harvest. The soils range from alluvial near the riverbed, to rocky and slate-filled on the higher slopes. The vineyards, which are planted at elevations of up to 1000 meters, enjoy moderate rainfall and, thanks to the mountains that protect them from the whims of the Atlantic, a relatively mild climate.The heart and soul of Bierzo is Cacabelos, a buzzing market town and important stop along Spain's legendary pilgrim's route, the Camino de Santiago (St. James Way, the Pilgrimage that takes place every year and culminates in Santiago de Compostela). Although the wine business is centered here, this pretty riverside town is hardly Bierzo's only attraction. Large towns like Ponferrada and Vilafranca del Bierzo tempt with Templar castles, medieval monasteries and once-extravagant palaces; while the smaller wine hamlets of San Roman Bembibre, Arganza and Corullon seem hardly touched by time.Wines to TryDescendientes de José Palacios Bierzo "Petalos" (Sherry, Chelsea)Dominio TaresPrada a TopeBodegas Estefania, Castro Ventoso, Bodega del Abad, Paixar (a winery run by the sons of Mariano García, one of Spain's top winemakers)Castro Ventosa, El Castro de Valtuille Pago de Valdoneje (a Sherry-Lahman best buy)
Origin information: Wineline

sábado, 4 de octubre de 2008

'HAY UN MOMENTO PARA CADA VINO'

'HAY UN MOMENTO PARA CADA VINO'

Serrat, viticultor ecléctico
MARCELO AICIO AFP
"El momento más feliz que he tenido desde que pisé por primera vez esta finca fue el día que vi mi primera botella de vino en otra mesa", confía Joan Manuel Serrat entre los viñedos con los que elabora exquisitos vinos, en la exclusiva comarca del Priorato. El cantautor, que el mes próximo inicia una gira por México, Argentina y Uruguay, se convirtió hace cinco años en bodeguero, "dejándome llevar por el entusiasmo y la ilusión ante un proyecto de hacer una viticultura imaginativa, respetuosa con el producto y el entorno y recuperando el concepto de los viejos bancales".
Las cepas están plantadas en un suelo compacto de pizarra o llicorella sobre un sistema único de terrazas (bancales) y a una altura que va desde los 350 a 750 metros de altitud, lo que da un vino muy intenso, particular, con algún toque mineral, entre otras características muy apreciables. En una larga conversación con AFP en su moderna y elegante bodega, en un entorno de abrupta belleza, el 'Nano' Serrat admite: "No tengo un modelo de vino porque, en general, en la vida no tengo modelos". Sin embargo, relata que le gustan los vinos "que presentan complejidad, bien estructurados, de largo recorrido, capaces de evolucionar desde que abres la botella hasta que te los acabas". Pero también le gusta "un vino joven. bien hecho, muy fresco, ligero". "Como diría Salomón en el Eclesiastés, hay un tiempo para cada cosa y una cosa para cada tiempo" y "también hay cada momento para cada vino", resalta. "Soy muy pudoroso. A pesar que sé que el vino no me haría quedar mal, soy consciente que el sector es muy complicado y esta situación del cantante que se mete a vinatero se presta a muchas manipulaciones. Si como músico he sido muy prudente con lo que he hecho, en lo que me he metido, en la promoción que he hecho... como bodeguero lo tengo que ser mucho más". Los vinos que elabora el autor de 'Mediterráneo' en sus 33 hectáreas de viñedo plantadas, 23 corresponden a la DOQ Priorat y 10 a DO Montsant, de un total de 300 hectáreas que tiene Mas Perinet en un entorno privilegiado de la comarca. Una comarca de poca producción, en la que "entre todos apenas hacemos lo que haría una bodega media de Rioja: unos cinco millones de botellas". El Perinet, el vino que es el buque insignia de la bodega, sigue progresando y ganando adeptos, pero también se elabora uno blanco, el Clos María, "un vino de garnacha blanca, chenin y algo de moscatel, al que le estamos incorporando viognier que se da muy bien", explica. Pero la "joya" de la bodega es el Perinet Plus, "del que sólo hacemos 6.000 botellas al año. Es la gama alta y está hecho con uvas de 'costers' centenarios de muy baja producción y gran concentración", se regodea. En la comida y como trazando balance, Serrat mira al vino y reflexiona: el aprendizaje de cada año sobre lo que la viña es capaz de dar y la crianza es capaz de pulir, hace que el camino recorrido tenga su recompensa en este vino que "en el 2005 estuvo asentado, en el 2006 está bien y en el 2007 estará muy bien porque fue un año muy favorable". Mas Perinet produce unas 35.000 botellas de Clos María blanco, 30.000 de Gotia (DO Montsant), 70.000-80.000 de Perinet y entre 6.000 y 7.000 de Perinet Plus.
Fecha de publicación: 26.09.2008
Origen información: El Mundo

viernes, 3 de octubre de 2008

Un experto italiano considera que las Rías Baixas pueden triunfar como destino de enoturismo en su país


Un experto italiano considera que las Rías Baixas pueden triunfar como destino de enoturismo en su país

02/10/2008 - 18:29

Defiende la importancia innovar pero preservando "la identidad" y los vínculos con el territorio
VIGO, 2 (EUROPA PRESS)
El periodista y miembro de la Asociación de Italiana de Sumilleres de Roma, Antonello de Cesare, destacó hoy que la zona de las Rías Baixas y su vino alvariño tienen un "potencial interesante" para triunfar en su país, debido a la calidad de los caldos así como por lo atrayente del contexto histórico y cultural al que están vinculados.
De Cesare ha participado durante cuatro días en un recorrido por la zona y ha visitados algunas de las bodegas dentro de una iniciativa del organismo Turismo Rías Baixas de la Diputación de Pontevedra. En la última jornada, celebrada hoy, el italiano expresó, en una rueda de prensa celebrada en Vigo, su valoración positiva de la experiencia.
A pesar de reconocer la dificultad de introducir nuevos vinos en el mercado italiano, el periodista aseguró que en las Rías Baixas existen varios componentes atractivos que pueden impulsar esta posibilidad, como la "renovación generacional" en lo que respecta a las bodegas o por el hecho de que la D.O. acometa iniciativas innovadoras desde el punto de vista de la producción, aunque sin olvidar su "identidad" y vinculación con el territorio.
En este sentido, destacó el hecho de que Galicia e Italia tengan elementos históricos comunes, como puede ser la cultura romana, y afirmó que tanto este último aspecto como la tradición céltica son factores que resultan atrayentes a los habitantes de su país.
De Cesare explicó que, a pesar de la dificultad de entrar un país con una gran tradición en lo que respecta al vino, existen gallegos que han conseguido colocar sus productos, como es el caso del intercambio comercial de una bodega con la zona de los Castelli Romani, a las afueras de la capital italiana. Se trata de operaciones de pequeña escala, aunque "importantes", destacó. ENOTURISMO
En cuanto al enoturismo, consideró que es un sector con recorrido y puso el ejemplo de la zona de la Toscana en Italia donde "ha dado resultado" e incluso existen iniciativas por parte de grandes bodegas pero también de pequeños productores.
Así, estimó que en Galicia también se puede desarrollar con éxito este tipo de actividades y explotar el "binomio vino-cultura". A este respecto, consideró necesario crear una imagen conjunta del vino alvariño con la que desarrollar iniciativas de marketing y contar con apoyos institucionales. DIFUSION
Tras su estancia en las Rías Baixas y haber visitado las zonas de O Salnés y el Condado, De Cesare dará cuenta de su experiencia en un programa radiofónico de la cadena estatal RAI, que se emite los domingos en la franja de máxima audiencia de la mañana. El italiano confió en realizar una próxima visita a Galicia, dado que ésta, a pesar de ser "intensa", fue de "pocos días" para poder profundizar.
Por su parte, el presidente de Turismo Rías Baixas, José Manuel Figueroa, confió en que la visita del periodista sirva para difundir en Italia el Alvariño (conocido, aunque poco) así como el territorio. Asimismo, abogó por la defensa de las "tradiciones".
Finalmente, manifestó su apuesta por el enoturismo y explicó que la Diputación de Pontevedra está en conversaciones con la Universidade de Vigo para la posible puesta en marcha de una titulación de enología.
origen información: Finanzas.com

jueves, 2 de octubre de 2008

VINO DE BENISSA

VINO DE BENISSA

Un caldo de tradición
La bodega Agroxaló potencia sus exportaciones combinando los métodos de siempre y la tecnología
Antonio Bertomeu observa una de sus botellas de vino A. I.
La bodega Agroxaló ha modernizado sus instalaciones familiares y exporta su marca al mercado internacional desde hace ocho años. Sus vinos llegan a nuevos y exigentes mercados.
E. VIDAL PASTOR De las bonanzas garantizadas por los cuidados de la experiencia centenaria aplicada a los viñedos y de las facilidades de la tecnología ha renacido el vino de la bodega Agroxaló. El benissenc Antonio Bertomeu decidió seguir con la dedicación que su familia le había prestado al cultivo de la vid durante décadas y modernizó las instalaciones hace ocho años. Desde entonces la expansión de su producto en el mercado ha ido in crescendo, llegando a las mesas internacionales de ambos lados del Atlántico.El único reglamento en el proceder de sus trabajadores se fundamenta en el respeto riguroso a los métodos artesanales y naturales, según explicó el propietario. En este sentido, la innovación tecnológica aporta el tratamiento en frío de las cubas donde fermenta el mosto con el fin de controlar la graduación y la coloración de cada vino, sin la intervención de productos químicos añadidos. De esta manera, la empresa familiar asume la totalidad del proceso de elaboración, que empieza por la plantación de las cepas hasta el control del caldo, el embotellado y la comercialización. Las instalaciones de la finca el Pinar, en la partida de Benimarraig de Benissa, dan salida a una producción anual de 100.000 litros de caldo que modelan ocho tipos de vinos. El moscatel, cultivado en Benissa, da cuerpo a los caldos blancos -seco, cava o de aguja-; mientras que las variedades de merlot, cabernet, sauvignon, monastrell y syrah (de Xaló) crean el paladar de los tintos Casta Marina o Tros del Pinar."Más apreciado"Las raíces caseras dieron paso a la nueva generación de la bodega como una apuesta de futuro. En ese sentido, Bertomeu confesó que "es complicada la entrada en el mercado de un nuevo producto, aunque nuestra experiencia ha facilitado que lo estemos consiguiendo". Y es que la producción a pequeña escala y el contacto diario con la materia prima reporta la calidad al producto final. Los comerciales apuntaron que "en el extranjero es más apreciado este producto y somos más conocidos que aquí". Asimismo, el principal cliente de Agroxaló es de Estados Unidos.Actualmente, la estrategia de mercado se encamina hacia Bélgica y la República Checa, entre otros. La gerente, Ana Bertomeu, aseguró que "hay posibilidades de expansión comercial y por ello trabajamos todos los días".
Origen información: Diario Información

When cork alternatives go bad

When cork alternatives go bad

Just about every wine enthusiast from beginner to advanced "wine geek" knows about the cork wars by now. The past decade has seen a remarkable rebellion against the long-established natural cork in favor of alternative closures that range from high-tech treated corks to plastic plugs to sturdy metal screw caps to such offbeat options as plastic "Zork" stoppers that unwind, or apothecary-style glass stoppers that take us back to the 16th century.
All of this activity can be traced back to a simple reality: While natural cork has been in general use as a wine stopper for more than 200 years, and a sound cork boasts certain natural advantages for wine cellaring, a small but non-trivial percentage of natural corks can ruin wine by tainting it with a chemical reaction between the wine and a natural fungus that occurs in cork.
Most of the alternative-closure activity has focused on two formats: The screw cap, particularly a heavy-duty brand called Stelvin; and synthetic stoppers that resemble corks in shape and size but are made of plastic.
Screw caps, initially abhorred because they evoked the cheap, rotgut wines that had long been packaged with a lightweight, simple version, have been gaining ground strongly in recent years. Particularly Down Under, it is becoming hard to find a white wine with any other closure, and the Stelvin is making strong inroads among reds.
Even in the more wine-conservative U.S. and Europe, screwcaps are becoming more and more common - and wine-savvy consumers are learning to embrace them, especially as lingering concerns about long-term aging begin to fade and producers master minor alterations in the bottling process.
But the story on synthetics, sadly, doesn't have such a happy ending. Quickly embraced by many in the industry because they're shaped like corks and can be made to look a bit like corks (albeit sometimes in wild and wacky colors), and can usually be inserted by existing bottling lines and removed - sometimes with difficulty - with a standard corkscrew.
Unfortunately, while solving the problem of cork taint, synthetics soon showed problems all their own. Despite engineering efforts to fashion them with physical characteristics as close to natural cork as possible, growing experience suggests that they're not suitable for wines destined for anything more than short-term drinking.
In my experience, wines closed with either type of synthetic - solid plastic plug or two-component type with slick outer sleeve and foamy interior - are risky investments for keeping more than a year or two. It would take all my fingers and toes and more to count the synthetic-stoppered wines that I've found "tired" and marginally oxidized only three or four years after the vintage.
The latest offender, opened just the other night, was an Italian red from from Basilicata, the "instep" of the Italian "boot." I had tasted Tenuta le Querce 2000 "Il Viola" Aglianico del Vulture twice before, on April 18, 2004 and again on May 7, 2005 (at which point its retail price had jumped up three bucks to $18.99). Both times the wine showed lots of ripe dark fruit - plums, blackberries and blueberries - with licorice and oak and so much tannin that it clearly needed cellar time.
Fair enough.
I put away one more bottle, forgot it for a few years, until the other day, when I was rooting around in the same dusty corner that revealed the 1999 Julienas Cru Beaujolais featured in Monday's edition, I found the last bottle.
Out came the red plastic cork and ... meh. The tannins are still going strong, but the fruit is gone entirely, replaced by an odd aroma that smelled like mud puddles in red clay to me. My wife thought it smelled like plastic and spit it out, fearing that some petrochemical gunk had leached into the wine. Note well that I don't think this is likely. But the wine was dead on arrival, and I'm satisfied that the synthetic plug is to blame.
It's too bad when a new technology intended to solve a problem proves to have new problems of its own, but that, I suppose, is the price of progress. Bring on the screw cap, as far as I'm concerned!
Origin information: The 30 Second Wine Advisor

miércoles, 1 de octubre de 2008

VINAGRES GUARRO 60 ANYS ELABORANT VINAGRES

VINAGRES GUARRO 60 ANYS ELABORANT VINAGRES

Com un resum d'una cultura agrícola mil·lenària, als camps de la Conca de Barberà, hi conviuen arbres de fruita seca, cereals i molta vinya. A Blancafort, al centre de la comarca, els de Casa Sala, des de fa segles que viuen del camp. Com a única hereva de la casa, per no deixar-la perdre, però també per vocació, la María José Sala es va veure en la necessitat de fer-se càrrec de l'explotació. Ella és exemple d'una generació de dones que, en el camp, ara fan de tot, des de la gestió empresarial fins a les feines manuals. María José Sala: "Avui dia, el que la dona fa és incorporar-se de ple a l'activitat d'una empresa agrària. A casa meva són moltes generacions, i jo crec que sóc una anella d'aquesta cadena, i el que pretenc és deixar-ho a la meva família, als meus fills; sembla que un d'ells vol continuar, i d'aquí, doncs, deixar-li l'explotació al més moderna i rendible possible." Avui dia, la dona pagesa ha d'estar al corrent de la normativa, ha de conèixer els avenços que hi pugui haver, els tipus de cultius més interessants, però, a la cuina, a la casa i al celler, fa les feines de sempre. María José Sala explica que utilitzen un vinagre fet de vi blanc, de la varietat macabeu perquè on hi ha vi, hi ha vinagre. Tana: "El fas tu, aquest vinagre?" María José Sala: "Està fet amb una recepta artesanal de la meva mare, que es fa amb cigrons i amb una tasseta d'aigua tèbia." És una manera d'accelerar el procés químic d'un producte importantíssim en la nostra cultura alimentària; primer, com a conservant, però també perquè se n'aprecia el gust. A Can Sala mantenen el costum de conservar en vinagre les hortalisses. Tana: "Els bitxos, amb què els mengeu aquí?" María José Sala: "Normalment, amb verdures, amb carn..." Tana: "Com un acompanyament." María José Sala: "Exactament. Fins i tot amb l'arengada. Eren menjars típics de camp." De fet, avui, el vinagre, únicament com a conservant, no seria necessari, perquè hi ha altres mètodes per conservar els aliments, però, com el vi, com el món de la gastronomia en general, el vinagre també es valora cada vegada més per la seva qualitat. Aquí envelleix el vinagre de més tradició que fa aquesta família de Montblanc. Van començar el negoci el 1936, de manera artesanal. El fill del fundador ha viscut l'etapa del vinagre industrial, i, ara, al seu nét li toca la dels vinagres de reserva. Jordi Mateu Guarro: "Abans, tothom intentava fer granels, després es va passar a l'embotellat en plàstic, després es va passar a l'embotellat en vidre. Ha sigut una transformació..." Tana: "I ara?" Jordi: "Ara, els aromàtics, els vinagres reserva... Ara ja es dóna molta més importància al vinagre a la cuina." Perquè el vi es transformi en àcid acètic calen dies o anys. Tana: "Com es nota que un vinagre és bo? Com ho hem de notar? Josep Guarro: "El principal del vinagre és l'aroma. Que tingui olors, aquest vinagre, i t'agrada, i, si te'n tires una miqueta a la mà, de vinagre d'aquest, te'l fregues per la mà, en escalfar-se, et puja una aroma que t'agrada olorar, i al cap d'una hora oloraràs i encara sentiràs aqueixa olor de vinagre. De vinagre bo!" És en contacte amb l'aire que el vi es fa vinagre -amb més o menys temps-, però el que aquí defensen és que per fer bon vinagre es necessita bon vi.
Origen informació: Jesús Querol

El grupo Matarromera elabora al año 150.000 botellas en su bodega Cyan


El grupo Matarromera elabora al año 150.000 botellas en su bodega Cyan

Los expertos apuestan por el «lento desarrollo» de la tinta de Toro

El enólogo Javier Suárez extrayendo vino de una de las 650 barricas con que cuenta la bodega, situada en el pago la Calera. Foto M. B.
M. B. El grupo bodeguero Matarromera, con presencia en cuatro D.O. de la región, presentó ayer tarde los tres caldos que elabora en su bodega de Toro, Cyan, situada en un bello paraje del municipio de Valdefinjas, donde cuenta con 100 hectáreas de terreno, 40 de ellas de viñedo -12 en producción- y el resto de olivar, pino y monte bajo con plantas aromáticas «que dan un carácter mentolado» a sus caldos, como explicó el enólogo Jaime Suárez.La industria fue construida en el año 2000 y adquirida hace año y medio por el grupo bodeguero, que ha mejora sus instalaciones, dotándolas de «tecnología puntera, con temperatura controlada automáticamente y depósitos que cuentan con sistemas de micro oxigenación individual». Así, dijo, Suárez, «se ha buscado obtener las máximas ventajas de la tecnología para aunarlas al saber del grupo bodeguero», una combinación con la que domar a la tinta de Toro, ya que, a juicio del enólogo, esta variedad «necesita de un saber elaborar muy técnico debido a su potente graduación alcohólica, con el fin de garantizar un buen fin a las fermentaciones». La filosofía de Matarromera, de la que queda constancia en la nave donde reposan las botellas, es la de «creer en el desarrollo de la uva a muy largo plazo». Por ello sacan el vino al mercado «cuando está listo para consumir; nosotros lo aguantamos en bodega el tiempo necesario, sin prisas, porque mejores condiciones que las que tenemos aquí no las van a tener en otro sitio». La bodega, sencilla y muy coqueta, cuenta con una sala de barricas que alberga 650 recipientes, de los que el 70% son roble francés destinado a dar «redondez y elegancia» a sus caldos, y el resto roble americano para arreciar a los más jóvenes. En ella conviven también las barricas nuevas y usadas, según lo requiera el vino. La firma ha depositado su santo y seña en el "Cyan Pago de la Calera", al que da nombre el paraje donde se asienta la bodega. Un vino «elaborado con una selección de las mejores viñas y las mejores barricas» del que salen unas 5.000 de las 150.000 botellas que producen anualmente. El 70% de ellas están dedicas al «vino base», el "Cyan con 12 meses de barrica" y el resto se lo lleva el "Cyan Prestigio", con entre 16 y 18 meses de crianza en barricas nuevas.
Origen información: La Opinión de Zamora